Explosion au Liban : le témoignage de Julie Couzinet (promo 2013)

Le Liban, déjà enfoncé dans une crise sans précédent, a vécu le 4 août dernier la dévastation du port de Beyrouth et des quartier avoisinants suite à l’explosion d’un stock de nitrate d’ammonium. 300 000 personnes se sont retrouvées sans logement, 160 personnes sont mortes, d’autres sont encore portées disparues. Voici le témoignage de Julie Couzinet (promo 2013), consultante en éducation, qui vit sur place depuis 2016. Elle lance aussi un appel aux dons pour les travailleuses domestiques.

Le 4 août, à 18h08, nous discutions sur notre balcon, mon mari et moi, à environ 15 kilomètres du port, lorsque nous avons senti les murs de notre immeuble trembler. Quelques secondes plus tard, un « boom » tonitruant retentissait. Passée la surprise, nous nous sommes jetés sur les réseaux sociaux où les images de l’explosion commençaient déjà à affluer. Une colonne de fumée rouge, un choc retentissant, puis l’onde, violente, incroyable, engloutissant Beyrouth. Autour de nous, les voisins s’interpellaient d’une fenêtre à l’autre, s’échangeant des informations. Puis tous se sont retranchés chez eux pour, comme nous sûrement, appeler les amis, rassurer les proches, s’assurer que tout le monde est sain et sauf. À part des blessures légères, des dégâts matériels, rien à signaler chez nos proches. La phase suivante fut donc d’essayer de comprendre ce qui s’était passé, de faire le tri entre les informations qui affluaient, de savoir s’il était sûr de rester dehors, si l’on devait s’attendre à de nouveaux bombardements et, surtout, ce qu’on pouvait faire. Les autorités libanaises ont rapidement communiqué sur un possible accident. Malgré l’inquiétude de beaucoup de monde, l’aide a commencé à s’organiser.

Faute de système ou d’assistance de la part des autorités publiques, des centaines de volontaires sont descendus dès le lendemain matin et ont commencé à organiser le déblayage. Armés de balais, de pelles, de sacs et de masques, passant de rue en rue, d’immeuble en immeuble, d’appartement en appartement, ils ont aidé et aident encore les habitants à trier leur vie du verre brisé, à balayer le sang et le chaos pour leur permettre de sauver ce qui peut l’être et de revenir chez eux quand ils n’ont nulle part où aller. Dans les rues, des stands se sont dressés, où des associations offrent premiers soins, boissons et nourriture aux habitants du quartier et aux volontaires. Ces derniers sont Libanais, Syriens, Palestiniens, ceux avec qui j’ai participé au nettoyage ont entre 15 et 20 ans tout au plus. Tous se sentent concernés, ils considèrent qu’il est de leur devoir d’aider autant qu’ils peuvent. Tous aussi sont conscients et très au fait de la situation politique, renforcés en cela par l’éducation informelle reçue au travers de la révolution d’octobre 2019.

Je ne suis pas Libanaise et n’ai pas le souvenir viscéral qu’ont les Libanais des bombardements israéliens de 2006. Tout ce que je peux dire, c’est qu’une boule au ventre m’a saisie ce 4 août et peine aujourd’hui à se résorber, un sentiment d’anxiété et d’urgence, l’impossibilité de quitter les chaines d’informations et les réseaux sociaux des yeux, les larmes qui montent régulièrement et la colère aussi, écho de la fureur des Libanais à l’encontre de leur gouvernement et des responsables politiques alors que les informations sur la responsabilité de chacun tombent peu à peu sans vraiment surprendre personne. Cette fureur légitime s’est exprimée le samedi après l’explosion, quand plusieurs milliers de personnes se sont réunies sur la place occupée en octobre 2019 et située proche du Parlement et de plusieurs ministères, symboles de la corruption du régime libanais. Les manifestations ont été reçues par une réaction violente de la police parlementaire et de l’armée, énième preuve pour les Libanais du mépris de leurs dirigeants.

Après l’explosion, c’est maintenant l’inquiétude qui s’installe. Inquiétude pour l’avenir du pays, entre la mise en ?uvre d’un état d’urgence ne laissant plus aucune place à la colère ou aux manifestations et semblant même vouloir restreindre l’action des volontaires sur le terrain. Inquiétude aussi de voir l’aide siphonnée et la même élite politique corrompue garder le pouvoir sans aucun changement, aucune réforme, profitant même des contrecoups politiques et financiers de l’explosion. Inquiétude enfin de voir la population plonger plus profondément encore dans la pauvreté alors que beaucoup, avant même l’explosion, avaient déjà faim.

Un appel aux dons pour les travailleuses domestiques

Parmi ces populations, le sort des travailleuses domestiques migrantes originaires d’Asie et d’Afrique m’interpelle particulièrement. Plusieurs dizaines d’entre elles sont mortes ou encore disparues, plusieurs dizaines d’entre elles se sont retrouvées sans toit ni ressources. L’aide qui afflue aujourd’hui au Liban est évidemment dirigée prioritairement aux aides médicales et d’urgence mais les associations de travailleurs migrants n’en sont jusque là pas ou que peu bénéficiaires.

L’explosion n’a fait qu’aggraver une situation déjà précaire. Avec la dévaluation de la livre libanaise au début de l’année 2020, les salaires des travailleuses domestiques ont perdu en valeur. Elles gagnent jusqu’à 6 à 7 fois moins, alors que leur salaire n’était en moyenne que de 150 euros par mois. Ces femmes travaillent souvent sept jours sur sept. Elles sont les premières levées avant l’aurore et les dernières couchées, sans liberté de déplacement sous le régime de la Kafala – système de parrainage privant les employés de leurs droits fondamentaux. De nombreuses familles libanaises, dans l’incapacité de les payer depuis plusieurs mois, ont commencé en début d’année à déposer leurs travailleuses domestiques devant les ambassades de leurs pays d’origine, confisquant bien trop souvent passeports et affaires personnelles. D’autres s’échappent, victimes d’abus ou refusant légitimement de travailler sans aucune perspective de salaire. Les ambassades quant à elles ne réagissent pas ou commencent tout juste, sous la pression des travailleuses.

Pour cette raison, je relaie ici un appel aux dons lancé par Léa Polverini, amie journaliste et étudiante – par ailleurs originaire de la région toulousaine – et autrice de la série de témoignages sur l’explosion « Beyrouth, 4 août, 18h08 » sur Slate.fr. L’appel vise à soutenir The Alliance of Migrant Domestic Workers in Lebanon, association par et pour les travailleuses domestiques de toutes nationalités. Les fonds récoltés permettront de loger les travailleuses qui en ont besoin – et leurs enfants – et de poursuivre les distributions de nourriture et de médicaments alors que le nombre de bénéficiaires augmente depuis l’explosion. Ces femmes ont besoin d’aide pour poursuivre leur action. Merci d’avance de votre soutien !

Maxime Switek (promo 2003) rejoint BFM TV

Maxime Switek (promo 2003) fait ce soir ses débuts sur BFM TV. Il présentera chaque soir du lundi au jeudi, la tranche d’informations de 22h à minuit de la chaîne d’information en continu. Maxime Switek arrivera sur BFMTV à partir du lundi 24 août 2020.

Également diplômé du Centre de formation des journalistes (CFJ) de Paris en 2005, Maxime Switek débute à la radio en entrant à Europe 1 en 2005. D’abord reporter, correspondant à Toulouse, puis présentateur des journaux d’informations, il se voit confier le journal de 8h de 2012 à 2014. Ensuite, il présente la matinale week-end de 2014 à 2015 puis la tranche du midi de 2015 à 2018. En parallèle, il débute à la télévision en 2013 en devenant chroniqueur dans l’émission quotidienne C à vous sur France 5. Il assure son 5 sur 5 pendant sept ans.

Maxime Switek a été membre du Conseil d’administration de l’association Sciences Po Toulouse Alumni pendant le mandat 2015-2018.

Sophia Popoff (promo 2011) responsable collectivités et affaires publiques de Planète OUI

Sophia Popoff (promo 2011) est la nouvelle responsable collectivités et affaires publiques de Planète OUI, fournisseur privé français d’énergie verte, filiale de la BCM Energy, qui accompagne les acteurs territoriaux dans la définition, le déploiement et la gestion des actifs d’énergies renouvelables.

Diplômée de l’IEP de Toulouse en 2011, Sophia Popoff a également obtenu cette année-là un master 2 en politiques européennes et coopération franco-polonaise à l’IEP de Strasbourg. En parallèle de ces études à l’IEP de Toulouse, elle obtient en 2010 une licence 2 en droit administratif, européen et international à l’Université Toulouse 1 Capitole.

Après un premier poste en région parisienne en qualité de chargée de mission auprès de Centre-Ville en mouvement, une association d’élus locaux et de parlementaires qui œuvre pour le renouveau du centre-ville, elle rejoint Bruxelles (Belgique). Elle travaille pour la représentation permanente de la France auprès de l’Union européenne en tant que conseillère adjointe politique étrangère. Elle y reste jusqu’en février 2014 et sa prise de fonction en tant que rédactrice et coordinatrice pour l’Ukraine au sein du service d’action extérieure de l’Union européenne. En parallèle, elle suit plusieurs formations dispensées par la Commission européenne, que ce soit en rédaction politique, négociation ou prise de parole en public.

Sophia Popoff travaille ensuite brièvement, de mars à mai 2018 comme chargée de plaidoyer et de communication en Ukraine au sein de l’ONGI Save the Children International, puis devient bénévole en Colombie pendant un peu plus d’un an, notamment afin d’enseigner l’anglais. À son retour en France à l’été 2019, elle devient chargée de mission bénévole dans la région de Lyon (Rhône) chez Bellebouffe, une association de lutte contre le gaspillage alimentaire et de promotion d’une alimentation durable.

À noter qu’elle est également depuis 2018 bénévole au sein de plusieurs associations, dont Impact, structure de prévention des violences sexistes, et Bolingo!, une association de solidarité internationale active à Kinshasa en République Démocratique du Congo.

Enfin, elle fait partie des diplômés élus aux dernières élections municipales : elle est désormais conseillère municipale, conseillère de la métropole de Lyon (Rhône) et conseillère d’arrondissement dans le 5e secteur.

Mélisa Godet (promo 2007) lauréate du Fonds SACD-OCS Signature

Mélisa Godet (promo 2007) est la lauréate 2020 du Fonds SACD-OCS Signature, dont l’objectif est de révéler les nouveaux talents d’auteur(e)s pour la télévision, grâce à une aide à l’écriture de séries de 26 minutes dans un esprit d’originalité, d’audace et d’inventivité. C’est ce qu’annonce la Société des auteurs et compositeurs dramatiques (SACD) sur son site Web.

Grâce à son projet Léthé-21, qui a su habilement combiner amnésie et série de genre au travers d’une relation intime et émotionnelle, Mélisa Godet remporte donc cette 3e édition, avec l’aide de son producteur Alain Attal.

Diplômée de l’IEP de Toulouse en 2007, Mélisa Godet a ensuite intégré l’Institut national de l’audiovisuel (INA) dont elle est sortie diplômée en 2009. Elle effectue son stage de fin d’études en tant qu’assistante de la directrice du développement au sein de WY Productions.

Elle débute sa carrière professionnelle en septembre 2009, en devenant assistante de production auprès de la société Les Productions du Trésor, avant d’intégrer le Centre national du cinéma et de l’image animée en qualité de lectrice. En parallèle, Mélisa Godet est depuis septembre 2012 directrice du développement au sein de Trésor Films (cinéma) et Trésor Prod (télévision), tout en mettant à profit ses talents d’écriture pour la littérature. Elle publie en effet son premier roman en 2014, Les Augustins aux éditions Jean-Claude Lattès, qui reçoit le prix Nouveau Talent.

Elle est en outre depuis juin 2017 scénariste, travaillant sur le long-métrage d’animation Les Fantômes du Père Lachaise ainsi que sur le long-métrage Comment je suis devenu super-héros.

Anaëlle Sorignet (promo 2013) rejoint Les Aventurières, une équipe de coachs féminines

Anaëlle Sorignet (promo 2013) a rejoint en janvier 2020 Les Aventurières, une équipe de coachs féminines qui aide les entrepreneurs, salariés, artistes et sportifs à atteindre leurs objectifs.

Diplômée de l’IEP de Toulouse en 2013 au sein du master Risques, sciences, environnement et santé, Anaëlle Sorignet a effectué durant ses études un stage au sein de la rédaction de Topito ainsi que chez Auxilia conseil, un cabinet qui accompagne les collectivités dans leur démarche de transition écologique, en qualité de consultante développement durable. Forte de cette dernière expérience, elle rejoint en octobre 2014 Villes vivantes, une start-up d’urbanisme en tant que chargée de projet et de recherche où elle accompagne les collectivités territoriales dans la conception et la mise en œuvre de leurs stratégies d’urbanisme durable.

Elle y reste jusqu’en 2016 avant de devenir rédactrice web et content manager, notamment en indépendant. C’est à partir de cette période que Anaëlle Solignet lance son blog La Révolution des Tortues, aujourd’hui site de référence sur l’écologie, tout en étant conférencière et auteure. Elle est en outre, pendant six mois en 2018, intervenante freelance auprès de l’École supérieure du digital. Depuis 2019, elle est aussi coach d’entrepreneurs et artistes, que ce soit en indépendant, ou au sein des Aventurières qu’elle a rejoint en janvier 2020, en développant une approche basée sur « une très bonne écoute de soi et de ce qui nous fait vibrer ».

Retour sur la rencontre virtuelle du club Sécurité

La première rencontre virtuelle du club Sécurité des diplômés de Sciences Po Toulouse a réuni mercredi dernier 10 juin plus d’une douzaine de diplômés représentant un très large spectre des métiers de la Sécurité intérieure ou internationale, publique et privée : sécurité ou sûreté privée / d’entreprise, officier de l’armée de Terre, officiers de gendarmerie, de police ou sapeurs-pompiers, magistrats administratifs, inspecteur principal des Douanes, lutte contre le crime au sein des Nations unies, ainsi que le président de l’association Vidéo Protection.

Avantage de la vidéoconférence, nous avons eu le plaisir de réunir des personnes vivant en divers endroits du globe : France métropolitaine (Paris et régions), île de la Réunion, Pays-Bas, Mexique, Sénégal…

Autre facteur de satisfaction, la thématique proposée, « Votre retour d’expérience sur la crise du Covid-19 dans votre métier », a permis des échanges d’une grande richesse.

Un compte-rendu plus complet est envoyé aux membres du club Sécurité et disponible sur demande.

Le « club Sécurité » réunit les métiers de la sécurité et de la Justice. Lancé en décembre 2017, il a organisé une visite du Centre opérationnel de gestion interministérielle des crises (COGIC) en mai 2018 et une rencontre en novembre puis un dîner en mai 2019 et un autre en novembre 2019.

Si vous êtes diplômé et que vous travaillez dans le domaine de la sécurité mais n’avez pas été informé de cette rencontre, contactez-nous.

Olivier Borne (promo 1988) directeur de la performance et du pilotage commercial chez NEHS

Olivier Borne (promo 1988) a été nommé en avril 2020 directeur de la performance et du pilotage commercial chez NEHS.

Diplômé de l’IEP de Toulouse en 1988, Olivier Borne a ensuite intégré l’université Panthéon Sorbonne (Paris I) où il suivit un DESS en droit public avant de rejoindre en 1992 la KEDGE Business School de Bordeaux, d’où il sort diplômé d’un master en management des organisations publiques.

Olivier Borne débute sa carrière professionnelle dans le secteur bancaire en qualité de directeur de clientèle chez Dexia Credit Local en 1993, avant de devenir directeur général adjoint chargé de la direction commerciale auprès de Dexia Location Longue Durée.

Il est ensuite pendant un an directeur grands comptes chez Dexia CLF Banque, avant de retourner chez Dexia Credit Local. D’abord en tant que directeur régional Paris Île-de-France Est, puis en tant que directeur des finances publiques à Tokyo au Japon. Olivier Borne quitte Dexia Credit Local en 2013, après avoir été pendant quatre ans directeur du réseau commercial France.

Il rejoint brièvement en 2014 2A2P Courtage France en tant que directeur général délégué, puis devient directeur d’Orsane, société commune de la Mutuelle nationale des hospitaliers et du Groupe Pasteur Mutualité.

En avril 2017, Olivier Borne est nommé directeur du développement des établissements de santé chez NEHS, groupe créé par la Mutuelle nationale des hospitaliers pour proposer une offre globale de services dédiée aux acteurs du monde de la santé. Il devient directeur de la performance et du pilotage commercial du groupe en avril 2020.

Marlène Russon (promo 2012) Talent Senior Coordinator au sein du BCG

Marlène Russon (promo 2012) vient d’être nommée Talent Senior Coordinator au sein du cabinet international de conseil en stratégie Boston Consulting Group (BCG).

Diplômée de Sciences Po Toulouse en 2012, Marlène Russon effectua son stage de fin d’études en qualité de chargée de mission RH diversité auprès d’Airbus, après une première expérience dans les ressources humaines en 2011 au sein de Rio Tinto Minerals.
Forte de ces expériences, elle intégra après l’IEP, l’école supérieure de commerce de Toulouse d’où elle sortit diplômée d’un master en gestion des ressources humaines en 2014.

Durant ce master, elle effectua un stage en tant que chargée de projets RH chez BNP Paribas Investment Partners avant d’intégrer Delane SI en qualité de chargée de ressources humaines. En novembre 2016, après près de trois années passées au sein de la société de conseil en informatiques, elle rejoint Bredin Prat, en tant que responsable RH. Elle y reste jusqu’en mai 2020 et sa prise de fonction auprès du BCG.

Premier apéritif en ligne du club Sport

Une dizaine de diplômés de Sciences Po Toulouse évoluant dans le domaine du sport ont pu participer jeudi 28 mai au premier apéritif en ligne du club Sport, contexte Covid-19 oblige.

De Toulouse à Paris, en passant par Villeneuve-sur-Lot et Chypre, plusieurs promotions (de 1998 à 2020) et entités étaient représentées allant des institutions (fédérations sportives, CDOS 94) aux acteurs privés (Infront Sport & Media, Société générale ou encore le Circuit Paul Ricard). À l’issue d’un long tour de table de présentation – puisque cette « rencontre » fût une première pour la quasi-totalité des participants – la discussion a évolué vers les impacts de la crise du Covid-19 sur le domaine du sport (aspects fans/spectateurs et soutiens/partenaires/clients).

À noter qu’un invité de marque a rejoint la session vers 19h30 : Monsieur Jean-Louis Guy, professeur d’économie à Sciences Po Toulouse, ambassadeur du sport à l’IEP et lui-même diplômé (promo 1975) !

Pour ne pas perdre le rythme, le prochain apéritif en ligne du club Sport aura lieu sur la deuxième quinzaine de juin.

Le « club Sport », animé par Pierrick Bardey (promo 2011), regroupe les diplômés qui travaillent autour du sport. La précédente rencontre remontait au mois d’octobre 2019.

Si vous êtes diplômé et que vous travaillez dans le milieu du sport mais n’avez pas été informé de cette rencontre, contactez-nous.

Aurélien Durand (promo 2004) rapporteur à la Cour des Comptes

Aurélien Durand (promo 2004), également diplômé de l’École nationale d’administration (ENA, promo 2013-2014 Jean-de-La-Fontaine), est devenu rapporteur à la Cour des Comptes au sein de la 3e chambre, section enseignement supérieur et recherche, en septembre 2019. Il était auparavant chef du bureau de l’expertise juridique du service des collectivités locales au sein de la direction générale des finances publiques (DGFiP) du ministère de l’Économie et des Finances.

Également diplômé d’un DESS en administration du politique obtenu à l’université Panthéon Sorbonne (2005), Aurélien Durand a débuté sa carrière professionnelle en qualité d’inspecteur du Trésor public dans les Hauts-de-Seine. Il devient ensuite responsable du contrôle de gestion départemental au sein de la direction des finances publiques du même département. Entre novembre et décembre 2012, il est inspecteur principal des finances publiques au sein de la direction départementale des finances publiques de Seine-Saint-Denis.

Entré à l’École nationale d’administration (ENA) en 2013, il effectue son premier stage en tant que chargé de mission auprès de l’ambassadeur de France en Pologne en janvier 2013. Il est par la suite, d’août 2013 à janvier 2014, chargé de mission auprès du préfet de l’Indre, puis d’avril à août 2014, chargé d’études auprès du directoire d’Eolane, une société leader des services industriels en électronique et solutions connectées.

Après sa sortie de l’ENA, Aurélien Durand est nommé en janvier 2015 administrateur civil, adjoint au chef du bureau de l’expertise juridique – collectivités locales au sein de la Direction générale des Finances publiques (DGFiP). Il devient en novembre 2016 chef du bureau de l’expertise juridique au sein du service des collectivités locales auprès de la même direction. Il occupe ce poste jusqu’en août 2019 et son arrivée rue Cambon en qualité de rapporteur.

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